Étiquette : acfida
Cours d’italien 2019-2020
Les cours sont réservés aux adhérents de l’ ACFIDA
Adhésion : Individuelle 25€- Couple 35€
Le maintien des cours est conditionné par le nombre de participants.
Le désistement en cours d’année ne donne pas lieu au remboursement des sommes versées
Befana 2019
En 2019 La Bafana aura lieu le Dimanche 13 janvier.
L’atelier cuisine 2018-2019
Un vendredi de chaque mois, les cours de cuisine italienne ont lieu de 18h30 à 21h. Après s’être appliqué à suivre les conseils du chef, on dîne. Et tout ça dans la bonne humeur.
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter l’ACFIDA au 02 54 51 19 35.
Venez chanter avec nous
La chorale se réunit chez Lucio et Bernadette, membres actifs de l’association, un mardi soir sur deux à 17h.
Au programme : chants populaires italiens.
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter l’ACFIDA au 02 54 51 19 35.
Elle est ouverte aux amateurs de chants traditionnels italiens.
Le conseil d’administration de l’ACFIDA
Bureau de l’ACFIDA 41
FONCTION | PRÉNOM – NOM |
Président | Patrick MASSON |
Vice-Président | Jean-Marc BAUDEZ |
Trésorier | Jacques VINCENT |
Trésorière adjointe | Jeannine MONTUPET |
Secrétaire | Claudine COLLA |
Secrétaire adjointe | Marie-France GUARESCHI |
Secrétaire adjointe | Maï VALETTE |
Administratrice | Michèle JOIGNY |
Administratrice | Virginie MAZIERES |
Administratrice | Anne-Marie PEYNAUD |
Administratrice | Martine CONVENANT |
Administratrice | Sylviane DUCHATEAU |
Rentrée 2018-2019
L’Association Franco-Italienne du loir et Cher « Dante Alighieri » (ACFIDA)
a le plaisir de vous annoncer la reprise de ses activités dès le 1er octobre 2018 :
♦ Cours d’italien (du niveau débutants jusqu’au niveau conversation
♦ Conférences sur l’Art en Italie
♦ Cours de cuisine italienne
♦ Chorale
♦ Sorties culturelles
♦ Voyages découvertes en Italie (deux fois par an)
Pour cela elle organise comme chaque année des permanences tous les lundis et
jeudis de 17h30 à 19h00 à partir du lundi 10 septembre à son local :
18, Rue Roland Dorgelès – 41000 Blois (1er étage)
Présentation des activités de l’ACFIDA et bulletin d’adhésion.
Vous pouvez prendre rendez-vous également par téléphone au 02 54 51 19 35
Nous comptons sur vous. A très bientôt.
Cours d’italien 2018-2019
L’italien langue vivante
Cours d’italien 2018-2019
Les cours sont réservés aux adhérents de l’ ACFIDA
Adhésion : Individuelle 25€- Couple 35€
Le maintien des cours est conditionné par le nombre de participants.
Le désistement en cours d’année ne donne pas lieu au remboursement des sommes versées.
Programme des conférences 2018-2019
Art italien : programme 2018-2019
Ces conférences ont lieu dans l’Auditorium de la bibliothèque Abbé Grégoire, 4 place Jean Jaurès à Blois.
Elles sont programmées un lundi à 17h (ouverture de la salle à 16h30) et durent environ 1h30.
Vous pouvez télécharger l’ensemble du programme en cliquant sur programme complet.
A la fin du II e siècle apparaissent les premières images chrétiennes, sur les parois des catacombes à Rome. Comment naquit cet art, au service d’une religion alors clandestine et qui, au tout début de sa propagat ion sur le sol romain, aurait interdit le recours à l’image? D’abord symbolique, (le dessin d’un poisson suffisait à suggérer le Christ), cet art va s’inspirer de l’iconographie païenne traditionnelle de l’Empire romain, pour la détourner vers une signi fication chrétienne : ainsi la figure d’Orphée devient – elle le symbole du Bon Pasteur, la vigne – le symbole du Christ, etc.
Quelles ont été les sources d’inspiration du peintre? Quel sens donner à cette œuvre emblématique du Quattrocento florentin ? Faut-il y voir une œuvre allégorique, inspirée par la philosophie néo-platonicienne introduite auprès des Médicis ? Ou un tableauexaltant l’amour et le désir, à travers la figure de Vénus, et que Botticelli aurait réalisé pour le s noces de Lorenzo de Médicis? A moins qu’il ne soit question, aussi, de la violence du désir érotique et de sa fugacité?
Lundi 14 janvier 2019: « La vie quotidienne à Pompéi ». Par Mme Laurence Merlette-Haddou
Le 24 août 79, le Vésuve entre dans une violente éruption qui ensevelit la cité romaine florissante de Pompéi sous un amas de cendres volcaniques de plusieurs mètres. A Pompéi, le temps s’arrête et la ville tombe dans l’oubli pendant plusieurs siècles.
Au XVIIe siècle, des travaux de creusement d’un canal font apparaitre des vestiges antiques sur l’emplacement de l’ancienne cité. Les fouilles entreprises permettent d’exhumer une ville prospère qui offre un précieux témoignage de la vie quotidienne à l’époque de la Rome antique. Partiellement préservée des pillages, son état de conservation est remarquable.
Dans la seconde moitié du XIIIe siècle, la ville de Sienne devient un centre artistique fécond et novateur. S’appuyant sur la tradition byzantine et son goût raffiné de la couleur, ainsi que sur l’influence de la cour brillante de Frédéric II, les artistes vont créer un nouveau langage plastique qui relie à la fois la peinture, l’architecture et les doux paysages de Toscane.
Cette cité indépendante va abriter des artistes majeurs, tels que les Pisano, Duccio, les frères Lorenzetti, Simone Martini, qui pourront s’exprimer librement et qui vont y réaliser les plus grands chefs d’œuvres de la Pré-Renaissance italienne.
Dans un contexte religieux troublé par la Réforme, la religion catholique doit se renouveler et s’imposer par des messages forts et intelligibles. En 1562, à Rome, la troisième séance du Concile de Trente donne aux différentes formes artistiques la mission d’exprimer avec force la foi catholique. En opposition à la pensée protestante qui prêche la sobriété et la sévérité, la Contre Réforme va mettre les arts à contribution pour convaincre les fidèles de la grandeur de Dieu. Ainsi va se développer l’art baroque qui touche tous les domaines artistiques et qui se caractérise par l’exagération du mouvement et des émotions (Le Bernin en sculpture), par les effets dramatiques et les contrastes de couleurs (les frères Carrache en peinture), par un certain décorum en architecture, tout cela agencé dans une belle harmonie.
Si je savais dépeindre (…) comme un peintre qui peint d’après un modèle, ainsi peindrais-je mon endormissement. » (Purgatoire XXXII, v.64-70.)